Le 14 avril
Petite journée relativement tranquille
aujourd'hui. Nous débutons par une visite du marché public
hebdomadaire de Katherine. On a vite fait le tour. Il y a peu de
produits alimentaires mais nous achetons tout de même des agrumes
frais ainsi que des confitures : mangue-citron pour un et
tomates-fruits de la passion pour l'autre.
Après les courses à l'épicerie, nous
roulons seulement 27 km vers l'Est pour aller au Parc National
Nitmiluk ou des Gorges de Katherine. Un autre phénomène géologique
particulier est à l'origine des gorges par lesquelles serpente la
rivière avec plusieurs changements de direction à angle droit.
Durant la saison sèche, après que les rangers aient enlevés bon an
mal an une bonne douzaine de crocodiles d'eau salée entre le parc et
Katherine, 1'on peut nager ou canoter dans la rivière. Des tours
sont aussi offerts en bateau-mouche d'une quarantaine de passagers.
Comme nous sommes arrivés en fin
d'avant-midi et qu'il fait 35 degrés au moins, on débute par une
visite de Centre d'interprétation qui est climatisé. On y apprend
plein de choses sur la géologie, la faune et la flore ainsi que sur
les populations aborigènes locales. Je surprend un martin-chasseur à ailes-bleues qui se regarde dans la porte d'entrée.
Nous nous installons au camping du Parc
et allons faire une trempette dans la piscine avant et après dîner.
Vers 14h nous décidons d'aller faire une petit sentier d'à peine 4
km et qui mène à un point de vue sur la première gorge de la
rivière Katherine. C'est beau!
Mais il fait chaud, très chaud! Probablement 40 ou 42 en haut du plateau. Heureusement on a de l'eau et on boit abondamment. Malgré cela la chaleur nous incommode et on cherche l'ombre pour se refroidir de temps à autre. De retour au camping, une seule activité s'impose, la piscine.
Mais il fait chaud, très chaud! Probablement 40 ou 42 en haut du plateau. Heureusement on a de l'eau et on boit abondamment. Malgré cela la chaleur nous incommode et on cherche l'ombre pour se refroidir de temps à autre. De retour au camping, une seule activité s'impose, la piscine.
Nous sommes à l'intersection de la
zone aride et de la zone humide qui subit la mousson. En
conséquence, on voit ici des espèces fauniques et floristiques des
deux zones. Les saisons sont aussi particulières car on a celle des
inondations, puis la sécheresse et ensuite les pluies et les
tempêtes. Des extrêmes qui demandent beaucoup d'adaptabilité! Actuellement les arbres sont en fleurs en attendant de perdre leurs feuilles pour toute la saison sèche. Dans quelques semaines on passera donc du vert au brun-gris!
Après presque deux semaines sans voir
de kangourous dans le désert, on a recommencé à en voir beaucoup
depuis 2-3 jours. Une dizaine hier et autant aujourd'hui. Des
petits wallabies surtout. On voit beaucoup de carcasses sur le bord de la route...
Et c'est le retour des grands cockatiels blancs ainsi que l'ajout d'une panoplie de nouvelles espèces très colorées.
Quant au dingos, on les entend hurler à tous les soirs à la brunante. Malheureusement, il n'y a pas que des bonnes choses car les moustiques de toutes sortes sont aussi plus nombreux et ce n'est rien à comparer avec ce qui s'en vient plus au Nord nous dit-on. On fera le plein de chasse-moustique!
Jean
Et c'est le retour des grands cockatiels blancs ainsi que l'ajout d'une panoplie de nouvelles espèces très colorées.
Quant au dingos, on les entend hurler à tous les soirs à la brunante. Malheureusement, il n'y a pas que des bonnes choses car les moustiques de toutes sortes sont aussi plus nombreux et ce n'est rien à comparer avec ce qui s'en vient plus au Nord nous dit-on. On fera le plein de chasse-moustique!
Jean
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