Le 29 janvier
Nous quittons Murchison après avoir
fait le plein d'essence et d'eau fraîche et vidangé le réservoir
d'eau grise. La route serpente au fond de vallées couvertes de
prairies au départ mais, nous arrivons bientôt dans la vallée de
Motueka où de magnifiques et verdoyants vergers se succèdent
inlassablement. Nous achetons des prunes rouges, des prunes jaunes,
des confitures d'abricots et des confitures fraises et framboises
d'une productrice qui les confectionne elle-même. Et nous lui
prenons aussi avec grand plaisir un demi-litre de bleuets qui se
révèlent tout à fait excellents. On peut sortir les Bleuets de
leur région mais pas le Saguenay-Lac-Saint-Jean des Bleuets! Ils
demeurent toujours des Bleuets qui raffolent des bleuets!
Nous entrons dans la petite ville de
Motueka juste à temps pour le marché public hebdomadaire. Tous les
dimanches au matin, les vendeurs installent leurs kiosques dans le
grand stationnement du centre-ville et offrent de bons produits frais
locaux : légumes et fruits, noix de Grenoble, huiles d'olive,
pains, fromages de brebis locaux, confitures, pâtisseries,
saucisses, etc. Il y a aussi des livres usagés et quelques objets
crées par des artisans locaux.
Nous ne pouvons résister à l'achat de quelques légumes frais dont de gros épis de maïs à deux couleurs. Le repas du midi révèlera qu'ils sont très sucrés mais que les grains ont une enveloppe moins tendre que les variétés retrouvées chez nous. Le roi du maïs sucré, le blé d'Inde de Neuville, n'a pas à craindre d'être détrôné pour l'instant. Par contre, le fromage frais de brebis s'avère sublime sur un pain de blé et sarrazin à la façon Allemande.
Nous ne pouvons résister à l'achat de quelques légumes frais dont de gros épis de maïs à deux couleurs. Le repas du midi révèlera qu'ils sont très sucrés mais que les grains ont une enveloppe moins tendre que les variétés retrouvées chez nous. Le roi du maïs sucré, le blé d'Inde de Neuville, n'a pas à craindre d'être détrôné pour l'instant. Par contre, le fromage frais de brebis s'avère sublime sur un pain de blé et sarrazin à la façon Allemande.
En après-midi, nous allons nous
balader sur le barachois, une longue pointe de sable qui protège la
ville des fortes vagues lors des tempêtes.
Aujourd'hui, la mer est d'huile mais c'est vrai que nous sommes dans la grande baie de Tasman qui est abritée des grands vents du Sud-ouest. Juste un peu plus au Nord, se trouve d’ailleurs le Parc National Abel-Tasman, un autre joyaux naturel qui attire des milliers de touristes annuellement. Son nom vient du premier européen, un Hollandais à découvrir la Nouvelle-Zélande en 1642. C'était plus de 125 ans avant que l'anglais James Cook ne la redécouvre et trace des cartes qui serviraient ensuite à la colonisation. Il faut dire que Tasman avait eu des ennuis avec les Maoris, perdant plusieurs hommes dès la première rencontre. C'est peut-être ce qui a empêché les Hollandais de s'établir alors.
Aujourd'hui, la mer est d'huile mais c'est vrai que nous sommes dans la grande baie de Tasman qui est abritée des grands vents du Sud-ouest. Juste un peu plus au Nord, se trouve d’ailleurs le Parc National Abel-Tasman, un autre joyaux naturel qui attire des milliers de touristes annuellement. Son nom vient du premier européen, un Hollandais à découvrir la Nouvelle-Zélande en 1642. C'était plus de 125 ans avant que l'anglais James Cook ne la redécouvre et trace des cartes qui serviraient ensuite à la colonisation. Il faut dire que Tasman avait eu des ennuis avec les Maoris, perdant plusieurs hommes dès la première rencontre. C'est peut-être ce qui a empêché les Hollandais de s'établir alors.
Nous terminons la journée dans un
petit parc municipal sur le bord de la mer. On peut y passer la nuit
dans notre VR pour la modique somme de 5$.
Jean
Le 30 janvier
Nous ne faisons qu'une quinzaine de
kilomètres pour se rendre à Kaiteriteri.
Nous passons le reste de l'avant-midi à
la plage où malgré les 16 à 20 degrés, les Néo-Zélandais se
promènent en manches courtes. Certains se baignent même! Vraiment
pas frileux ces Kiwis!
Après le lunch, nous partons pour
Marahau à quelques kilomètres plus loin. En passant nous faisons
un court sentier abrupt pour aller voir le Splitapple Rock dans une
petite baie entre deux grosses montagnes. Le chemin en lacets de
bottines est relativement étroit et cela rencontre un peu juste
parfois. L'effort en valait la peine car le rocher est assez spécial
en plus d'être entouré d'une eau turquoise.
À Marahau où nous prendrons notre
bateau-taxi demain , nous marchons la plage de bout en bout. Cela
nous prend presque deux heures. La mer turquoise nous ravit. Au
bout de la baie, le Parc National Abel-Tasman qui nous attend,
demain.
Jean
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